Et Léonard pleure sa musique lancinante
Des images volent dans mon imaginaire
Me nourrissant de sa poésie enivrante
Je communie ne comprenant que son air
Plus que les mots la musique déclame
Je me suis forgé une poésie à écouter
Ces chansons que l'on disait sans âme
Je les recrée en moi pour m'évader.
Et Léonard chante Marianne
Il s'illumine et s'enflamme
il est prêt à vendre son âme
Et Léonard s'enfuit avec Suzanne
La musique m'a permis la survie
Une nourriture, un souffle, un besoin
Dans mon parcours elle m'a suivi
M’accompagnant, m'envoutant au loin
Et Léonard chante l'oiseau sur le fil
Il réclame un peu de liberté
Des âmes il change le profil
S’envolant vers l'éternité.
hallelujah!
C’était il y a trente ans
samedi 12 novembre 2016
Et Léonard s'en va
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paix a son âme il nous reste ses dvd ou il nous paraitras vivant !
RépondreSupprimerBravo pour ce poème. il y a longtemps que tu n'avais pas abordé cet exercice difficile de la rime. Tu n'as rien perdu de ton style.
RépondreSupprimerP.S. il y a un "é" de trop et pas de s dans "recrée" ou alors tu as oublié un auxiliaire.
Tu pourrais aussi mettre le texte écrit sur Papa à son décès même s' il est très personnel. Rien que pour le souvenir.
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